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Ne pas se laisser pétrifier par la neige qui tombe lentement chaque jour…

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Vingt -Vingt

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L’espoir…

Début 2022…

L’air ambiant? Nauséabond… Les érections se préparent; il y a ceux qui aboient, ceux qui cherchent, on sait bien quoi, ceux qui sortent de l’ombre, bref, on sait ça à notre âge sans illusion mais à l’oeil vif et à l’ouïe qui souffre à force d’entendre des fadaises. Bref, deux fois, sur fond de pass et de masque et de covid toujours, on avance comme dans la légende des siècles… Échevelé, livide au milieu des tempêtes…il marcha trente jours, il marcha trente nuits… On se souvient de Hugo, au moins de lui.

Bref ( ter) c’était mon intro morose…

Les jeunes amants. Carine Tardieu 2022

Pourtant un film comme ça, qu’on a envie de voir pour un tas de raisons humaines qui nous touche tout au fond ( on croyait avoir perdu jusques aux sentiments). Au fond, il nous touche, en effet…

Les jeunes amants. Une justesse de ton, des dialogues fins et un jeu remarquable. Fanny Ardant, Cécile de France, Melvil Poupaud et tous les autres qui portent leur rôle d’humains. On me rebat les oreilles que le sujet est invraisemblable; une femme de 70 ans et un homme de 45 ans s’aiment jusqu’à l’issue que nous savons. Il faut voir le film dérouler du vécu. Pas de détails affriolants, mais de vraies caresses, pas de pathos pour tirer des larmes, mais la vie au quotidien de ceux qui souffrent de toutes les souffrances, pas de regards éplorés, mais une vraie sollicitude entre les êtres dont ce siècle avare est privé désormais. Bien sûr que la musique-belle-est là pour rythmer le pouls d’une action qui n’en est pas une mais qui palpite de résonances en nous tout de même.

Je vote pour cette intelligence du coeur. Solveig Anspach avant de s’en aller a bien fait de nous raconter cette histoire mise en scène par Carine Tardieu. Maintenant chut, regardez ces acteurs, écoutez leur mots jamais surfaits et d’une belle pudeur.

Neuvième et dernier livre: juin 2021 aux éditions Ex Æquo : Accordements ( roman historique)

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On s’voit là-bas?

Accordements… Un récit de vies

Après Paroles de l’attente, paru en Mars, voici mon livre de juin aux éditions Ex Æquo, collection Hors Temps ( récits historiques).

Un pas en avant, une recherche, une quête.

Mon grand-père me disait toujours d’avancer , comme les soldats sur le front quand ils le pouvaient. Sa réflexion en héritage, son espoir de revenir un jour et cette détermination qu’il avait de retrouver ses amis depuis ce foutu pastis, comme il le disait: la guerre des hommes. Mon grand-père, mais pas que lui, un autre soldat, britannique, inlassable conteur que je suivais , en l’écoutant, sur les chemins des Downs, Angleterre… Le souvenir affleure quand on ne le convoque pas et ce fut une découverte dans l’Illustration du 7 août 1915, d’un événement sur leurs terres de combat, qui m’a conduite vers ces fronts lointains dont on ne sait plus l’existence que par des plaques apposées, des monuments de femmes éplorées, des tombes oubliées ou disloquées ; c’est la détermination qu’il avaient et le caractère qui était le leur, conjugués avec ma curiosité et mon intérêt pour la musique et la peinture, qui m’ont conduite vers eux à travers ce récit d’émotion contenue. Écoutez un extrait…

Article mis en avant

Hommage à Giorgio Scalco, peintre italien…

Critique littéraire de…

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Balade une

Un polar de 2014 publié en Belgique…

En hommage à Pierre Magnan que j’aimais rencontrer à Forcalquier…

Retour en terre sèche, aux éditions Murmure des soirs

Les Festes…

La semaine pascale était ponctuée de pièces d’auteurs provençaux dont les partitions avaient exhumées par Guy Laurent: Jean Gilles, ses motets, Campra et d’autres moins connus, auteurs aux pièces ciselées que les Festes d’Orphée nous offraient à Pâques dans La Chapelle Sainte Catherine de la rue Mignet à Aix… puis après des années de travaux remarquables, le groupe n’eut plus de subsides pour résister et La Chapelle fut fermée pour réhabilitation. La joie de la période pascale qui, pour les uns, venaient du Christ vivant, pour d’autres, de la saison lumineuse du printemps, nous tenait en émoi en fin de journée dans le silence ébahi et dans l’absence de mouvements du corps, assis comme élèves studieux … les notes sobres s’élevaient des voix baroques sous la voûte et nous étions transformés un long moment pour accueillir la part de mystère que la vie nous dispense sans que nous n’ayons rien fait de grand… Aix retrouvait dans ses couvents d’alors les voix implorantes de ses religieuses en un stabat mater , celui de Delalande, qui n’en finirait pas , semblait-t’il de nous tendres bons…

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