Recherche

miscellanees2015.online

Ne pas se laisser pétrifier par la neige qui tombe lentement chaque jour…

Mois

avril 2019

L’attente…

Le Pasubio cruel de la guerre de15 à portée de regard; enneigé; derrière moi, pas si loin, les Dolomites. Un temps arrêté= dimanche de Pâques= Les italiens sont en liesse pascale et en famille; le Haut Plateau est fleuri mais la nature se relève à peine de l’hiver qui fut ravageur, une catastrophe pour les arbres sous la tempête. Je suis, fidèle, retourné au pays de Mario…

Temps arrêté , donc; il semble que l’épuisement est là, latent, mais non, ce n’est que la lente réadaptation du corps et de la tête à un autre jour. On prépare une marche, la présentation de IL PIAVE MORMORA ANCORA de mardi, les amis appellent d’ici et d’en bas ( en bas, maintenant pour moi, c’est l’Italie, plus la France où les enfants auraient aimé que nous soyons un jour de Pâques…).

La tranquillité ou presque: on a vu ou téléphoné à ses malades, réglé les problèmes d’intendance, fermé les écoutilles aux agressions mais pas lâché sa vigilance devant le monde en souffrance.

L’attente de démarrer vraiment la journée, penser à la marche de demain avec Paola, à voir Gianni et Ketty, Maria, rencontrer Gianni, l’autre, se souvenir du message d’hier de Giovanni, pas le fiésolan mais celui de Vicence; se préparer, quoi, et c’est bien… Je pense à vous. On est responsable de ce que l’on a apprivoisé disait Antoine …de St Exupéry.

Da Fabia, Monte Camosino, Omegna, Orta, aprile 2019; grazie!

Article mis en avant

Les épuisements…

C’est le nom du dernier, enfin du suivant; il y en aura d’autres…

Je parle de livre, pas d’enfant, même si j’adore mon élevage… Bref, on parle de bouquins.

Pas un petit dernier= deux mots tout à fait limitatifs et sombres de la langue française. Non, un livre qui va vivre sa vie de livre après avoir recueilli les vies d’autrui et l’avis d’autrui; c’est comme ça, l’échange.

Jetez un oeil sur celui-là et revenez vers moi. Récit, oui, ça parle du parcours…Auto-fiction, oui, ça parle de vécu. Ne vous attendez pas, pourtant, à une autobiographie, ce serait inintéressant…

On se voit bientôt autour du livre LES ÉPUISEMENTS et d’un café partagé?

Dédicace en bibliothèque: Cabriès, 4 avril 2019, 18h00.

La vision d’un Bouc ( Bouc-Bel-Air, j’entends) noire et dure ( normal, c’est un roman noir!). Des lieux où l’on se balade parce qu’ils nous parlent d’un passé jamais oublié; celui des ancêtres, comme celui des temps de guerre; celui de l’enfance du narrateur où se tramaient, enflant dans l’ombre, ressassements et mauvais sentiments. Au rythme de nos villages que l’on observe et qui nous observent, se déroule, souvent de nuit, l’histoire que je vous raconte là, dans LA MAISON DE BOUC, QUE PIERRE A BÂTIE…

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑