La vision d’un Bouc ( Bouc-Bel-Air, j’entends) noire et dure ( normal, c’est un roman noir!). Des lieux où l’on se balade parce qu’ils nous parlent d’un passé jamais oublié; celui des ancêtres, comme celui des temps de guerre; celui de l’enfance du narrateur où se tramaient, enflant dans l’ombre, ressassements et mauvais sentiments. Au rythme de nos villages que l’on observe et qui nous observent, se déroule, souvent de nuit, l’histoire que je vous raconte là, dans LA MAISON DE BOUC, QUE PIERRE A BÂTIE…