Constat de la vie qui est passée… Eh oui, elle est passée. Se lamenter? Non, tant d’autres ont gaspillé leurs yeux à pleurer. Faut pas. Aller vers le désastre sans gaité; la seule vraie force, celle d’affronter.

Nos silences sont pleins de disparus; rarement dans le calme.

Nos pages sont pleines d’égratignures profondes.

Nos jours, de colères devant l’inévitable, l’histoire des hommes ou l’actualité plus que morose.

Des vieux amants de Brel que me rappelle cet ami du parcours à la belle Fréhel, un constat qu’il nous faut dépasser.

Vivons à cloche-pied mais vivons quand-même… Et enlevez votre genou de notre cou! Hommage à George Floyd.

Le texte suivant est de Mouloudji.