Un homme que l’on tue est un homme qui meurt… un homme qui meurt est une idée en moins, une caresse en moins, un pas qui ne se fera plus.
L’idée, la caresse, le pas manqueront toujours car un vide ne se comble jamais malgré les bonnes intentions qui affluent pour que l’on reprenne comme avant.
L’école souffre parce que l’esprit souffre; l’esprit est ce feu-follet qui passe sur nous tous sans que nous puissions le capter et il décharge sur nos petits êtres, miasmes, défiance, haine et violences. Aucun discours, aucun texte, aucune église ne pourra les chasser si l’homme seul que nous sommes ne décide fortement qu’ils n’entreront pas par sa porte, jamais.
Je me détourne de la haine, de la corruption, de la contamination, de l’acte de violence, aujourd’hui à 11 heures et tous les jours qui suivront.
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