Du persil, chez moi, je n’en ai jamais; il ne pousse pas, la terre est trop sèche… Pourtant la langue italienne, par son expression,  le voit envahir toute chose; essere come il prezzemolo, cela veut dire être partout comme le persil.

Le truc, c’est que  ce n’est pas le persil qui envahit les bons moments mais les squatters , pas ceux qu’il faut aider car ils n’ont rien, mais ceux plutôt qui ont un peu, un semblant de notoriété (bof!) et qui veulent encore plus et vont le chercher en pique assiettes chez d’autres.

Sans vergogne, sans état d’âme et comme la vérole, un jour, sur le bas clergé…Pfff!

En Italie, en octobre, vous croyez que le persil sera encore là, dites?

Tant pis, j’emporte avec moi mon purin d’orties… Radical comme insecticide!