Lo diceva lui…
Lo cantava lui…
Gian Maria Testa, un figurant comme nous sur la scène des jours, peut-être un peu plus généreux que nous parce que lui répétait ce qu’il fallait dire sans relâche et que nous, nous laissons tomber une fois que c’est dit…
Car les choses sont belles au delà du minable ambiant qui n’est pas acceptable…
L’ossigeno delle stelle e la poesia dei ritorni, di emigranti e isole, cercando l’invisibile: l’appartenenza…
Une appartenance humaine; pas le village, pas le pays, pas l’Europe, pas le monde, mais l’humanité; un peu comme le disait l’anglais John Donne il y a quatre mauvais siècles déjà: ne te demande pas pour qui sonne le glas; il sonne pour toi! ( ah je ne peux m’empêcher de vous écrire les paroles de celui-là aussi, tellement elles m’impliquent; lisez plus bas et recherchez-les sur la toile!)
Alors j’appuie sur play parce qu’il n’y a pas d’autre mot, et je l’entends qui est près ( Gian Maria Testa , cette fois) et qui me dit de sa voix chuchotante:
Portami in sogno verso la patria mia
portale un cuor che muore di nostalgia…
Je reprends le chant avec lui, comme si, ensemble, on avait fait la communale et qu’on se retrouvait…
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No man is an island intire of itself, a piece of a continent, a part of the maine...I'm involved in mankind so never send for whom the bell tolls, it tolls for thee!
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