Ce fut Pâques…

Sous-jacent, un temps d’arrêt, comme à Noël, qui sert à fuir le quotidien, à faire autre…

À faire plus, à continuer à piloter à vue, sans grand projet que l’immédiat.

Le rite religieux est là, perdu dans les contingences, égaré dans les  tensions , les agressions, les frictions, les exactions, les absolutions grandissantes. Le coeur de notre siècle- je suis témoin transitaire un  peu de de celui-là et davantage de l’autre – s’est sclérosé et ça persiste. Comment le sortir de sa grasse léthargie et de son épaisse enveloppe haineuse pour  qu’il recommence à être sensible, faute de pouvoir  ressembler à Dieu,  si celui – ci a véritablement ressuscité pour un nouveau cycle?

Exit la fête, restent les autres jours.

Pensées de bête humaine…