On s’est souvenu d’eux. Qu’ils étaient italiens, puis français; qu’ils ont combattu en France, en Italie aussi.
Sur le monument, en haut, à droite, il y a Antoine Panelli; mort pour la France; un copain d’un autre Antoine, plus chanceux, mon grand-père. Il dirait quoi, le soldat Panelli, né d’une famille de Capannori en Toscane , pas si loin de Fiesole, notre ville-amie, en voyant cette gerbe venue de son pays, déposée à ses pieds? I l est tombé à Verdun , en 1916… Il y a aussi, Marius Isoardo, tué dans la Marne, le 15 novembre 1914 et puis Marcel Daussan, piémontais comme lui… Puisqu’ils ne parlent plus, faisons-le à leur place…
Vous êtes avec nous sur la nôtre ce matin, dans notre souvenir, avec ceux qui sont retournés: les frères Canobio et Jean Peira… Soyez les bienvenus, les italiens!
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